Mardi 14 février

Ce n’est pas la première, ce ne sera pas la dernière fois. Aujourd’hui, un responsable politique a voulu argumenter. Et c’est pour cela servi de la mort d’un homme, d’un collègue. À qui nous pensons, nombreux.
Il ne s’agit pas de dire que sa mort nous appartient.
Il ne s’agit pas d’en faire notre propre sanctuaire. Cet événement innommable n’a pas à appartenir à qui que ce soit.
Mais juste, juste. Je vous en supplie. Un peu de dignité.
Se tenir droit. En son souvenir.