Lundi 18 septembre

Aujourd’hui, j’ai énormément de chagrin. Ça me fait plaisir que les rituels puissent apaiser des douleurs. Ce lundi, pas la mienne. Il y a une absence et rien ne semble pouvoir la combler.

Aux gens qui m’adressent la parole, je parle de mon travail. Parce que c’est ce qui se fait, mais pas seulement. Parce qu’aussi, en cette journée de deuil, c’est l’une des seules choses qui ne soit pas affectée par la tristesse. Parce qu’aujourd’hui, ça me tient lieu de refuge.

Qui aurait pu croire ?

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