Vendredi 3 novembre

Amis à la maison. Et pendant que les uns et les autres prennent leur rythme, je me retrouve avec E., à corriger des copies. Je la vois annoter de façon brève et précise, de sa belle écriture régulière, tandis que j’ai l’impression de devoir mobiliser toutes mes capacités pour ne pas rajouter du chaos au travail de mes élèves.

Sensation qu’à chaque fois, il faudrait écrire des paragraphes entiers ou rien du tout. Comment faire en sorte qu’une appréciation ne devienne pas un tampon d’infamie ou un bavardage ?

Encore une fois, chercher à communiquer au plus juste avec des personnes dont nous savons, en définitive, bien peu. Et beaucoup.

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