
J’ai désactivé les notifications de mon WhatsApp. D’abord parce que ça calme ma pulsion de vérification permanente, ensuite parce qu’un bizarre attachement fait que je ne quitte jamais les groupes de profs des différents établissements que je parcours.
Il en résulte un chaos de petites pastilles rouges et beaucoup de nostalgie. Des projets se déploient, des conseils de classe sont annoncés. Je lis un message de temps en temps, je me sens un peu voyeur. Mais j’ai du mal à couper le fil. J’ai fini par apprécier ma liberté de TZR. Mais tous ces visages que je ne peux plus voir au quotidien me manquent, c’est le jeu. Alors je lis quelques mots. J’essaye de ne pas oublier les noms.
Étrange constellation.