Mardi 27 mai

Au soleil d’une terrasse, je dis au revoir à deux stagiaires documentalistes, à qui j’ai à peine parlé durant l’année. Horaires décalés, géographie du bahut en îles isolées.

Il y a du soleil, des paroles échangées ne comptant pas pour grand-chose.

Pas de regret. On s’effleure parfois, dans ces espaces de béton, de verre et d’enseignement. Des vies lumineuses, qui s’éloignent ensuite.

Et c’est bien.

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