
Au soleil d’une terrasse, je dis au revoir à deux stagiaires documentalistes, à qui j’ai à peine parlé durant l’année. Horaires décalés, géographie du bahut en îles isolées.
Il y a du soleil, des paroles échangées ne comptant pas pour grand-chose.
Pas de regret. On s’effleure parfois, dans ces espaces de béton, de verre et d’enseignement. Des vies lumineuses, qui s’éloignent ensuite.
Et c’est bien.