
Et donc, en ce dernier weekend, où je devrais préserver mes forces, je pars à l’aventure. Avec un ami, un frère, quelqu’un de primordial, je ne sais pas. Je pars dépenser ce qu’il me reste d’énergie, en pure perte, à danser tard et parler à des inconnus.
Et tandis que je tape presque en rythme la pulsation du DJ sur le sol d’une île minuscule, je me rends compte à quel point cette année scolaire m’a changé. J’ai traversé le pire pour atteindre, non pas le meilleur, mais quelque chose de stable.
C’est un besoin, c’est un rythme, c’est une passion.